vendredi 31 octobre 2008

Bob the builder.

J'ai commencé ma journée nationale du diabète et des caries aux aurores. C'est que, voyez-vous, je devais aider mon père à gosser une coquette protection pour de tout aussi coquets conifères et monter un abri tempo pour une p'tite madame.

Constat:
J'suis un patenteux, j'suis un BRI-CO-LEUR!
Je l'ai toujours été.


Et me voici avec mon frérot, quelques Halloweens ago...


Si vous voulez vraiment me rendre heureux à mon prochain anniversaire, z'avez qu'à m'offrir un joli noeud papillon.

J'me fais vraiment beaucoup trop de fun avec le nouveau scanner. Si ça continue comme ça, j'vais me mettre à vous pondre des billets à la Papamefourre. C't'un projet.

mercredi 29 octobre 2008

Trunno. #2

Une cinquantaine de nouvelles photos pour orner mon flamboyant profil facebook allaient suivre. Moi qui suis habitué d'éviter savamment d'être photographié, j'annonce en grande primeur que mes amis ont la fibre asiatique bien développée.

Un peu de tourisme broche à foin dans l'ombre de la tour du CN. On a faim, nos estomacs roucoulent leur mécontentement. Merci à la Hippo Tour's girl; Paddington's Pump, ce sera. (Début de la parenthèse. Ok là, des pancakes c'est juste terriblement trop bon. Fin de la parenthèse.)

On rembarque dans notre bolide et zoom-zoomons directement vers la sieste qui nous attend à l'auberge. (Un morceau de robot dysfonctionnel au premier qui saura nommer la marque de notre bolide.)

On arrive finalement à l'auberge. On fait notre sieste.

Je me souviens que j'adore dormir sur du plastique, presque autant que j'aime le sarcasme.

On se réveille, on a faim, encore. Mais avant tout: grattage de poche et pipi. Z'en voulez d'la virilité, en v'là. On sort donc de l'auberge 72 étoiles en quête d'une croûte qui veut être cassée. Une tache de sperme au sol me fait les yeux doux (dans le sens qu'elle veut être cassée, pas dans le sens que je veux la manger, morons) mais je continue à marcher sans broncher. Je suis peut-être Maybelline, je vaux bien mieux que ça.

Illumination deux coins de rues plus tard, le rêve de tout homme qui veut rentabiliser son morning boner: des hot chicks qui servent de la gastronomie des aliments comestibles (la bouffe, c'est juste un prétexte). J'ai nommé: le Hooters. Les Français se sont mis à pleurer de joie, c'était beau. J'suis rentré saluer mes ex pis on a continué notre chemin vers une place plus intime où y'aurait pas autant de chicks pour nous dévorer du regard. On trouve. J'ingère le plus infect club sandwich ever. En terminant ce musical champ lexical sur l'appétit, bâtard que le service à la clientèle c'est pas leur fort en Ontario.

Il fait nuit. Où irons-nous humecter nos gosiers et dérouiller nos bassins magiques?

mardi 28 octobre 2008

Trunno. #1

C'est vendredi et on annonce un temps de chien pour la fin de semaine à Toronto. Hein, quoi? À Toronto? Ben oui, à Toronto, capitale de notre bien-aimée Ontario et agglomération principale de notre encore-plusse-bien-aimé pays, ze Canada.

C'est ainsi que par un frisquet et pluvieux soir d'octobre, nous partions -L'Ex-Pred, ses colocs français (j'aime bien le mentionner encore et encore) et moi- vers le berceau des méchantes Feuilles d'érable. Notre objectif? Assister au spectacle de *The Roots*, *Gym Class Heroes* et *Estelle* le dimanche soir venu.

Un fat total de 12 heures de voyagement sur un voyage qui en a duré exactement 54. Ce qui nous laisse amplement de temps pour [insérez une longue énumération absurde et riez-en, rire c'est bon pour la santé].

Pendant l'aller, mes impressions se sont confirmées: les Français me trouvent chiant. Quand des Français te trouvent chiant, c'est comme...
-se faire traiter de fif par Alex Perron.
-se faire dire qu'on pue par Mr. Hanky.
-se faire reprocher son manque de charisme par Stéphane Dion lui-même.
OU
-avoir un feu d'artifice farci au chili allumé dans le cul.

Désagréable et irritant.
Mais bon, je suis fort. Je suis peut-être Maybelline.

Armés de deux I-pods + quelques CD spécialement confectionnés pour le roadtrip, on laissait joyeusement notre quincaillerie (marteaux et enclumes) se faire bercer par de l'excellente musique (à l'exception du culte malsain que semblent vouer les Français au groupe O-Zone).
Passons.

Ponctuant nos dialogues par beaucoup trop de références aux films Le dîner de cons, Le père Noël est une ordure et Les visiteurs, on a enfin posé le pied à notre première destination: Niagara Falls.

Temps de marde oblige, voici le plus beau paysage qu'on a trouvé à photographier:




lundi 20 octobre 2008

Hey ho, let's GO!

J'avais 10 bougies -vous pouvez ajouter 2-3 feux de bengal si ça peut rendre l'image plus féérique dans votre tête- que je disais à mes parents que jamais je n'allais être qu'un "simple" médecin, avocat ou astronaute. Non non, moi j'ai ben plus d'ambition que ces pseudos-carriéristes charlatans qui, eux, n'ont aucune originalité.

Me voilà aujourd'hui, 3 bougies short du quart de siècle, avec rien d'autre que des idéaux plus grands que nature qui me trottent en tête. Parce que je m'accroche à mes rêves, aussi dépourvus de forme, de texture, de réalisme soient-ils. Des gamins de 10 ans plus castrateurs que moi, c'est aussi rare que quelqu'un qui fait du yoga, pénard sur un tapis de sol, dans les rues de Pamplone, du 7 au 14 juillet.

Les gens ont souvent une perception erronée de moi, c'est étrange comme c’est récurant. On me voit comme un gars spontané, dynamique, volubile, brillant, patient, drôle, beau, charmant, habile de ses mains, habile de pas juste ses mains, pourvu d’une bonne écoute, vif d’esprit, honnête, sportif, baveux, confiant, créatif, attentionné, sympathique, humble, etc. Alors que je suis tellement plus que ce simple être unidimensionnel que l’on semble déceler en moi… Ça me dérange, ça vient me chercher qu’on m’étiquette lâchement de la sorte, comme si j’étais un simple Monsier Toutlemonde qui n’a rien pour se distinguer de la masse. En tout cas…

Voici ce qu’on m’a déjà proposé comme emplois à occuper à court et parfois très long terme:
-Croupier au Casino
-Vendeur de cellulaire
-Douanier
-Préposé dans un centre d’appels
-Prof au primaire
-Éleveur d’émeus
-… *suspense*… *roulement de tambour*

G.O. dans un Club Med. J’pense à ça vite vite, STI QU’C’EST HÔT! Mais à tête reposée, c’est ben d’la marde. Je m'explique.

Devenir G.O., c'est 6 mois de ta vie. Tu reviens pas en pleurant le lendemain pour dire à tes parents que tu t'es trompé, que tu DOIS rester auprès d'eux parce qu'ils pourraient mourir d'un jour à l'autre. Ils ont plus de 55 ans, après tout. Et tu les aimes.

Like it or not, tu restes là-bas à (être obligé d') avoir l'énergie dans l'tapis du matin au soir pendant 6 mois; tu travailles 6 jours/sem; t'es pogné pour t'exprimer parfois en anglais, parfois en espagnol et parfois des jumelles ukrainiennes te sautent dessus -nues- et crient leur bonheur dans une toute autre langue; tu te façonnes un tan de rêve; tu apprends les danses latines, par obligation; presque tous les soirs se finissent en party; tu t'improvises d'ailleurs barman et tu adores ça; tu rencontres des tas de gens qui viennent des 4 coins du monde; tu cours la chance de rencontrer le gars qui chantait la toune rock accrocheuse dans Les aventuriers du timbre perdu; tu nages avec des dophins; t'as une lettre de référence béton à ton retour; tu te fais plus de 700$ par mois alors que presque tout t'est déjà payé là-bas; tu nages dans une mer cristalline quotidiennement; tu parfais tes skills en volleyball de plage avec des triplets suédoises -habillées- que tu finiras peut-être par voir nues; tu délaisses ton incertitude professionnelle à des kilomètres et tu plonges dans une aventure que tu n'oublieras probablement jamais par après, tellement c'était d'la marde...

C'est une bonne idée... Oui? Non? Peut-être?

mercredi 15 octobre 2008

L'éveil vide.

Le titre peut vous sembler lourd et profond, je vous rassure en vous confirmant que l'auteur de ce blogue est toujours le même.

L'éveil vide est l'un des feelings les plus agréables au monde. Il s'agit de se coucher en se disant que demain, on va pouvoir se lever quand ça va nous tenter. Pas d'obligations. Vous pourrez découvrir votre corps autant que vous voudrez sous les couvertes, le tout en fredonnant du Kaïn. Avoir l'esprit tranquille au moment de se coucher, ça n'a pas de prix.

Mais comme l'humain est insatiable et qu'il s'écoeure systématiquement de tout ce qu'il peut avoir en abondance, le feeling magique de "l'éveil vide" peut se dégonfler à la vitesse de la bédaine d'Elzire Dionne. Les sceptiques joueurs de Donjons et dragons qui croient qu'on ne pourra jamais avoir trop de sexe ne sont de toute évidence jamais tombés sur une nymphomane. Pour sa part, le pauvre homme derrière le nom de la ville de Bâton Rouge y a sûrement goûté plus d'une fois. Bâton Rouge, la capitale internationale des nymphomanes.
C'est dit.

L'éveil vide à répétition devient lassant. Dépourvues d'objectifs précis, les journées deviennent jumelles, le samedi et le mercredi, same shit. La vie s'embrouille de prévisibilité, la routine congèle nos ambitions, la motivation elle-même procrastine.

N'ayez crainte, je me fais hebdomadairement une liste des méfaits à accomplir. 5-6 cossins qui prennent la semaine entière à être biffés. Tu donnes la liste à un boyscout pendant sa pause entre une tournée de vente de chocolat et un cours sur le noeud en 8 et il te performe ça. J'suis lâche.

Là, j'me cherche une job. J'suis motivé.
Pas d'éveil vide pour moi...

dimanche 12 octobre 2008

Timbuktu - Det Löser Sig

Quand ça va mal, ce clip-là me rend joyeux.



Ce qui est fantastique, c'est que ça marche aussi quand ça va bien. Comme là.

vendredi 10 octobre 2008

TCQVATVSSMSJOMLD #2.

Version relationnelle (pour ne pas dire sexe).

16. J'ai rarement baisé avec de la bonne musique de fond (ou simplement de la musique...), va falloir que je fasse ça un de ces 4.

17. J'ai été dépucelé à 17 ans et des poussières. Quelques semaines auparavant, je me demandais sincèrement si j'allais un jour tiré mon coup. The Secret ça fonctionne vraiment!

18. Parmi les filles que j'ai embrassées (mettons des chiffres pour mettre des chiffres) :
-50% sentaient mauvais de la yeule.
-25% avaient un goût neutre.
-25% goûtaient bon.

J'ai embrassé un grand total de 17 filles, vous comprendrez que les chiffres ne sont qu'approximatifs. Oui j'ai une liste, j'suis un gars cartésien.

Et pour celles qui ont déjà tâté de mes lèvres, je ne vous dirai JAMAIS à quelle catégorie vous appartenez.

19. Discussion récente avec un bon ami:
Lui: Faque si j'comprends bien, ça fait environ 4 ans qu'on se connaît et t'as jamais été en amour?
Moé: J'crois ben ne jamais avoir été en amour... En fait j'le sais, j'l'ai jamais été.
Lui: Mais t'as jamais tripé à fond sur une fille? Genre un coup de foudre?
Moé: J'ai parfois été intéressé, très. Mais de là à dire que y'avait un party de papillons dans mon bedon rond, non.
Lui: Faque... t'es gay!?

Je sais pas, soit j'ai pas de coeur, soit j'suis juste sélectif à l'extrême. Ou peut-être une diseuse de bonne aventure, ça vous le savez pas.

20. J'suis aucunement souple. Je sais pas si je tripe tant que ça sur la souplesse féminine. Tout ce qui m'importe c'est qu'elle soit capable de bien se ressortir les fesses. Un galbe fessier bien mis en valeur, hot hot hot!

21. Une partenaire grande ou petite? Les deux ont leurs avantages, j'suis vraiment embêté là... Très bonne question, moi-même. Merci.

22. Toutes les filles sont persuadées qu’elles donnent les meilleurs blowjobs du monde. Le fait est qu’une seule fois j’ai été renversé par la qualité de la chose et Dieu sait que j’ai déversé. Merci, merci.

Conseils :
Préliminaires. Les filles aiment bien les préliminaires à la pipe. Un petit bec sur le bas ventre, une p’tite léchée sur le côté du pinisse. Hum… la première fois que vous sucez le gars, ok, si ça peut vous faire plaisir. Perdez pas trop de temps là ensuite, c’pas ben ben excitant.
Rythme. Essayez pas de changer le rythme aux 5 secondes, c’est dull en criss. Les mots d’ordre sont : régularité, salive, fluidité, et Mister Freeze.
Les mains. Pas tous les gars aiment se faire varloper la verge de la même façon, demandez et vous recevrez. La circoncision ou non, en soit, est une variable très influençable. Branler à deux mains, ça fait sentir le gars "gros et long" = bonne chose, mais pas longtemps. De temps à autres, oubliez les mains, ça nous fait sentir dominants.
Deepthroat. Y’en a qui prennent grand plaisir à l’enfoncer loin, loin, loin. Ça peut en effet être excitant. Tant et aussi longtemps qu’elle ne dégueule pas. Perso, voir une fille gaguer je trouve ça aucunement excitant, c’est même un turn off. D’un autre côté, une fille qui ne fait que bécoter le gland, ça vaut sensiblement rien. Pas besoin d’aller loin, mais un petit effort tout de même.
Les noisettes. Certains gars aiment se faire tripoter les castagnettes, pas moi.
Yeux. Un regard chaud et sensuel pendant la pipe c’est tellement torride.
Cheveux. Bon, on s’entend pour dire que c’est pas idéal de les mêler à l’équation. Le gars doit alors faire sa job. Je vous réfère à cet article qui est ni plus ni moins une pièce d’anthologie interstellaire.
À l’écoute. Observer les réactions du porteur de phallus avec des yeux cochons peut s’avérer une très bonne chose. En plus de l’exciter, ça vous donne des indices sur l’appréciation qu’il a de votre travail.

23. J’peux ben vous faire la morale sur l’art de la pipe, mais j’ai jamais fait de cunni, mangé un lunch, brouté une chatte, tâté du clitoris avec mes amygdales, agacer les trompes avec ma langue, vérifié de façon buccale l’existence ou non d’une prostate en une femme (ça c’est si je m’étais trompé de trou…).

24. Y’a des spots pas loin à l’intérieur de mes os de hanches qui sont très érogènes. Oh ça oui.

25. Un de mes fantasmes (du jamais dit, de l’inédit) ça serait de me faire attaquer/dominer. Une belle grosse baise grasse et bestiale avec de l’arrachage de vêtements et tout le kit. Faut qu’ça sente le sexe icitte!

26. Je trouve les gens qui mettent trop de langue dans leurs baisers répugnants.

27. Si j’ai le choix entre du B et du D, je prends le B. Même pas une question. Lors d’une indécision face à un examen à choix de réponse, les chances sont que je vais faire l’inverse, choisir D.

28. Le livre de Kama Sutra dans la chambre de mes parents est un véritable ramasse-poussière, je crois que je vais l’adopter. D’ailleurs, je me trouve un peu trop conservateur en ce qui attrait à la sexualité, je vais aller m’y ressourcer.

29. Conservateur peut-être, ça n’empêche pas que je fus jadis un grand consommateur de porn. C’est grâce à ça que j’ai découvert les onglets et la magie du clic sur la roulette (super plusse rapide). Entre gars on s’échangeait souvent nos nouvelles trouvailles. Faites-vous ça les filles? Ça existe-tu une fille qui regarde régulièrement du porn?

Sur mon ordi y’a de quoi remplir quelques I-Pod d’heures de plaisirs, de cris, de cuisses légères, de pinisses disproportionnés, de silicone, de tribals dans le bas du dos, de piercings sales, etc.

30. Vous vous souvenez dans Mortal Kombat, le jeu sur Playstation, pas le film. Quand t’avais trucidé ton opposant et qu’il lui restait un rien d’énergie, ça disait "Finish him!" et là tu faisais un move de la muerte pour le tuer et tu gagnais. C’était l’bon temps.

Ben moi j’ai ma petite position préférée pour me finir. Z’avez vu le lien ici? Un génie.

La voici :

Ah pis soyez donc autonomes. Selon le livre elle s'appelle "l'autre position béante".


J’en reviens pas que j’aie écrit ça. J’ai vraiment pas de filtre.

J’en profite également pour proposer le terme "lapinage" pour se mêler à la famille des synonymes de baiser, faire l’amour, enfiler, niquer, fourrer, forniquer, copuler faussement, etc.

jeudi 9 octobre 2008

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur moi sans jamais oser me le demander.

J'ai envie de m'exhiber. (Un peu à cause d'elle.)

1. À la fin de mes études collégiales, j'ai commencé à jouer au billard intensément. J'ai gagné ma vie grâce à ça pendant pas loin de 2 ans. Gambling et tournois. Je me pratiquais minimum 4 fois par semaine. J'suis devenu un genre de fumeur secondaire, mes poumons doivent pas être aussi roses qu'un porcelet prêt pour la castration (voir cette magnifique scène du film Bacon, même moi j'en ai frissonné, c'est dire).

Quand je serai grand et responsable, j'aurai ma table de billard chez moi. C'est non-négociable. Peut-être même que je finirai par baiser dessus un jour. À qui la chance?

2. À côté du salon de billard où je pratiquais, il y a un salon de bronzage. Les filles qui sortent de là m'ont toujours paru louches. Parlant de bronzage, je finis toujours l'été en habitant, c'est chic. Pour en revenir aux poupounes, j'me dis qu'elles ont toutes au moins une qualité: leur bronzage.

3. Quand une fille me dit qu'elle est barmaid, elle part toujours à -1000 points. Je sais pas, j'ai une dent contre la barmaid en général.

4. On n'utilise plus assez l'expression "sharp à l'os".

5. Dernièrement, mon père m'a pogné à regarder des émissions de cuisine et de déco à Canal Vie. Ça paraît-tu que j'ai hâte de déménager en juillet prochain?

J'avais 10 ans et je disais à ma mère qu'à 23 ans j'allais (enfin) me pousser de la maison. La prophétie devrait normalement se réaliser, j'ai si hâte. Fuck yeah!

6. L'autre jour j'étais sur le pont et je me dirigeais vers la grand' ville. J'étais entouré par 6 fuckin' Civic dont 2 avec des néons. Et je conduis une Civic. J'habite Laval, pas de doute (s'il y en avait).

7. Ah pis fuck. Voici le 3e énoncé consécutif qui contient the "f" word.

8. Le prochain qui me niaise parce que j'habite à Laval, j'lui remplace les couilles par du plomb pis j'le balance en-dessous d'un gros électroaimant. BOOM!

9. Je suis frileuse. Pas frileux, frileuse.

10. Je peux jongler à 3 balles à l'infini. J'étais un sale joueur de pogs. Je fais bondir une balle de golf sur un bâton en ajoutant de la fantaisie (entre les jambes, derrière le dos) tout plein de coups de suite. Je m'amuse à faire flipper des bouteilles quand je vais à la SAQ, les employés aiment pas. Je fais le moonwalk avec une grande élégance. J'aime bien posséder des talents inutiles.

11. Je déteste aller à la banque, pour moi c'est pire que le dentiste.

12. Parfois j'aimerais être une femme, je serais une amante incroyable.

13. Mais ce que j'aimerais le plus, c'est être dans la peau d'une femme, juste une journée, rien que pour voir (ou comprendre...).

14. J'ai tendance à avoir les mains moites. En cherchant un moyen de les assécher, j'ai eu la brillante idée de les tremper dans un mélange aucunement explosif de peroxyde/alcool dénaturé (99%). Ça n'a pas si bien fonctionné... Malgré l'échec cuisant, mes mains ont fini par peler le lendemain. Duuuurty!

15. Pizza froide > Pizza chaude

Un peu plus demain si vous êtes gentils.

samedi 4 octobre 2008

Top 3 des artifices féminins.

-Un bracelet très haut sur l'avant-bras ou mieux, sur le bras.
-Vêtements dans l'éclatante palette du blanc-gris-noir.
-Un béret.

J'trouve tout ça fuckin' sex.